Mais que fait la police dans nos rêves ? Le policier est une émanation de notre ministère de l’intérieur, un fonctionnaire zélé chargé de faire appliquer la loi. S’il apparaît en rêve, il peut correspondre à un sentiment d’infraction aux lois du capitole, une culpabilité. Il convient de regarder si cette culpabilité est fondée et de voir comment nous serions réellement en infraction ou si nous ne sommes pas trop soumis à une rigueur policière inique qui ne nous laisse que peu de champs de liberté. De par son uniforme, il peut représenter une dépersonnalisation et une prépondérance du Surmoi sur le Moi.
Si le policier est une instance nécessaire pour protéger l’ordre et empêcher une expression du Ça trop primitive – celle qui tendrait à écraser les autres – il doit aussi être le représentant d’un ordre juste, n’écrasant pas trop le Moi. Toute loi qui est trop répressive et punitive amène un affaissement de la conscience comme elle mène au totalitarisme. A long terme, il est plus intelligent et rentable d’éduquer que de réprimander, même si cela est plus lucratif sur le court terme. Une redondance du personnage du policier ou une cohorte de ces agents est révélatrice d’une éducation trop sanctionnante, qui préfère instaurer la culpabilité pour faire payer et asservir la progéniture.
Néanmoins, le policier est nécessaire à l’ordre intérieur et, s’il n’est pas trop prépondérant, son apparition en rêve témoigne de nos fonctions d’ordre internes. Une accolade avec ce personnage correspond à un assouplissement du Surmoi.
Le policier est plus en relation avec la gestion de notre intérieur, tandis que le gendarme est plus l’agent de gestion de notre relationnel extérieur.
Policier
Mais que fait la police dans nos rêves ? Le policier est une émanation de notre ministère de l’intérieur, un fonctionnaire zélé chargé de faire appliquer la loi. S’il apparaît en rêve, il peut correspondre à un sentiment d’infraction aux lois du capitole, une culpabilité. Il convient de regarder si cette culpabilité est fondée et de voir comment nous serions réellement en infraction ou si nous ne sommes pas trop soumis à une rigueur policière inique qui ne nous laisse que peu de champs de liberté. De par son uniforme, il peut représenter une dépersonnalisation et une prépondérance du Surmoi sur le Moi.
Si le policier est une instance nécessaire pour protéger l’ordre et empêcher une expression du Ça trop primitive – celle qui tendrait à écraser les autres – il doit aussi être le représentant d’un ordre juste, n’écrasant pas trop le Moi. Toute loi qui est trop répressive et punitive amène un affaissement de la conscience comme elle mène au totalitarisme. A long terme, il est plus intelligent et rentable d’éduquer que de réprimander, même si cela est plus lucratif sur le court terme. Une redondance du personnage du policier ou une cohorte de ces agents est révélatrice d’une éducation trop sanctionnante, qui préfère instaurer la culpabilité pour faire payer et asservir la progéniture.
Néanmoins, le policier est nécessaire à l’ordre intérieur et, s’il n’est pas trop prépondérant, son apparition en rêve témoigne de nos fonctions d’ordre internes. Une accolade avec ce personnage correspond à un assouplissement du Surmoi.
Le policier est plus en relation avec la gestion de notre intérieur, tandis que le gendarme est plus l’agent de gestion de notre relationnel extérieur.