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Reine Rouge

Dans Alice, la Reine Rouge est la caricature de la mère infantile et narcissique. Cette figure peut apparaître en rêve sous des formes dissimulées ou parfois directes. C’est ici la toute-puissance de la mère négative dans sa forme absolue qui est symbolisée. La personne représentée est gouvernée par un Surmoi aussi coercitif qu’anarchique qui ne lui a pas permis de trouver une place. Face à cette « injustice », son Ça cherche alors à s’exprimer de façon permanente et virulente, certain de sa légitimité. Elle veut être à la première place, de façon permanente.

Ici, nous ne sommes pas face à une personne qui s’exprime avec son Moi et son coeur, mais face à un gros bébé tyrannique, sans conscience, qui ne cherche que le contentement de ses appétits immédiats et de son reflet narcissique, ne supportant pas la moindre contradiction. Elle veut « couper la tête » à la première personne qui s’oppose à son désir égotique, sans raison ni logique. C’est la dictature hystérique et inique du « Ça ». Face à cette dictature anarchique et parfois histrionique, le moi ne peut pas se construire par manque de connexion avec le coeur. La Reine Rouge n’a aucune empathie. Elle reste alors au stade du « Ça » incontrôlable, éternelle insatisfaite narcissique, pas assez intelligente pour être vraiment perverse. C’est son manque total de scrupule et de discernement qui lui permet de s’imposer de façon aussi injuste et arbitraire. La Reine Rouge est le « Ça » ! Son action est d’autant plus virulente, que face à ce gros bébé, c’est notre cerveau « bon parent » qui réagit et donc, nous sommes parentalisés à notre insu et dans l’empathie de sa souffrance, incapables de nous opposer parfaitement alors à cette dictature.

Selon Mandryka qui évoque le « Ça » dans son œuvre, il faut procéder comme suit :

« N’oubliez pas de lui river la gliture, sinon, il bourjoufle. »

Dans Alice, la Reine Rouge est la caricature de la mère infantile et narcissique. Cette figure peut apparaître en rêve sous des formes dissimulées ou parfois directes. C’est ici la toute-puissance de la mère négative dans sa forme absolue qui est symbolisée. La personne représentée est gouvernée par un Surmoi aussi coercitif qu’anarchique qui ne lui a pas permis de trouver une place. Face à cette « injustice », son Ça cherche alors à s’exprimer de façon permanente et virulente, certain de sa légitimité. Elle veut être à la première place, de façon permanente.

Ici, nous ne sommes pas face à une personne qui s’exprime avec son Moi et son coeur, mais face à un gros bébé tyrannique, sans conscience, qui ne cherche que le contentement de ses appétits immédiats et de son reflet narcissique, ne supportant pas la moindre contradiction. Elle veut « couper la tête » à la première personne qui s’oppose à son désir égotique, sans raison ni logique. C’est la dictature hystérique et inique du « Ça ». Face à cette dictature anarchique et parfois histrionique, le moi ne peut pas se construire par manque de connexion avec le coeur. La Reine Rouge n’a aucune empathie. Elle reste alors au stade du « Ça » incontrôlable, éternelle insatisfaite narcissique, pas assez intelligente pour être vraiment perverse. C’est son manque total de scrupule et de discernement qui lui permet de s’imposer de façon aussi injuste et arbitraire. La Reine Rouge est le « Ça » ! Son action est d’autant plus virulente, que face à ce gros bébé, c’est notre cerveau « bon parent » qui réagit et donc, nous sommes parentalisés à notre insu et dans l’empathie de sa souffrance, incapables de nous opposer parfaitement alors à cette dictature.

Selon Mandryka qui évoque le « Ça » dans son œuvre, il faut procéder comme suit :

« N’oubliez pas de lui river la gliture, sinon, il bourjoufle. »

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